Puisqu'on est dans la continuité des premiers jours,
j'enchaîne sur les suivants, autrement dit, aujourd'hui, mais surtout hier, le
30 septembre : mon déménagement, dudes ! Journée chargée, en fait : pas
seulement le déménagement, mais aussi l'enregistrement au bureau des résidents
étrangers pour avoir son Alien Card, la banque – c'était prévu – et les achats
pour la chambre : difficile de vivre sans oreiller ou sans papier toilette.
Le matin, le rendez-vous avec tous les autres ryuugakusei
était prévu à 9h30 à l'université, histoire que les professeurs puissent
transporter nos bagages dans leurs voitures et qu'on puisse prendre le train
sans être trop chargés. J'étais un peu triste à l'idée de quitter Iwase-san, et
puis, allez vous exprimer en japonais pour dire "j'étais super contente
d'être chez vous, ça m'a plu de jouer des morceaux à quatre mains avec votre
fille, j'espère vraiment qu'on se reverra, je vous suis redevable pour beaucoup
de choses !". Pas évident. Et elle est partie très vite, mais j'ai gardé
son mail et son numéro de portable. Contente que le séjour en famille se soit
bien passé… Mais j'ai vraiment eu de la chance de tomber sur cette famille en
particulier !
Vers les 9h45, après un briefing des professeurs, on
s'aventure vers la gare de la ligne Linimo pour rejoindre d'abord le bout de la
ligne Linimo, Fujigaoka, avant de prendre la ligne Murasaki qui nous mènera
jusqu'à Sakae, ou on changera pour prendre un train qui dessert une branche à
part de la ligne Murasaki : au bas mot, une heure et demi de train. À faire
tous les matins. Youpi, je m'en réjouis d'avance.
Bon, c'est de l'ironie mais en fait j'aime beaucoup les
transports en commun, moi, surtout au Japon, ça vaut le coup d'œil : bon déjà,
les trains ne sont jamais en retard, mais c'est normal, on est au Japon.
(D'ailleurs le record de retard du shinkansen (TGV) pour l'année 2008 a été de
deux minutes. Pour toute l'année !) Et ensuite c'est bourré de publicités, sur
lesquelles j'ai environ 3 chances sur 4 d'apercevoir des personnalités que
j'aime particulièrement ou je connais simplement, comme Ohno-kun (ouais, les
potes, vous vous en doutiez à peine), et le reste des Arashi (dont Nino, Alex,
je pense à toi !), ou bien Horikita Maki, qui est siii mignonne ! Ou bien le
leader de Tokio (pardon, Sweet, Garvi ! J'ai oublié son nom…) avec le reste du
groupe évidemment. Mais aussi des affiches du Seigneur des Anneaux, de Harry
Potter et de Pirates des Caraïbes. Même si ici, c'est quand même plutôt la
culture japonaise qui prime. (Caro, ceci est pour toi, j'ai tout de même vu Kim Hyun Joon sur une pub télévisée pour… probablement des oreillers. Ainsi qu'une pub
pour le nouvel album de FT Island. :D)
Ce voyage en train est l'occasion de faire la connaissance
de deux nouvelles japonaises qui nous prennent en charge, Hiromi-san et
Riho-san, qui nous attendent à Fujigaoka, qui sont toutes les deux adorables,
et qui me font remonter mon estime personnelle après quelques conversations où
la communication passe sans problème, pas comme avec les coréens avec qui
j'essayais vainement de discuter pendant la première demi-heure de train. Tous
les japonais ont toujours l'air ébahi quand, lorsqu'ils me demandent ce que
j'aime manger, je réponds des daifuku. Quoi, c'est si rare que ça, les
occidentaux qui aiment manger de la pâte gluante et des haricots rouge en
bouillie sucrée ?
Ma provision de daifuku |
On arrive à l'ISC, ma résidence, où commence la réunion pour
les nouveaux arrivants. Comment résumer cette réunion… Ah oui, les mots
"j'y pige que dalle" correspondent plutôt bien. La dame qui nous lit
le règlement parle à une vitesse folle, avec des mots compliqués, qui ne
collent pas toujours avec la traduction en anglais du règlement qu'on a sous
les yeux. Le moment où je me dis surtout que j'ai mal compris, c'est quand elle
dit qu'on pourra bénéficier du wifi à partir d'avril prochain. Haha. Avril
prochain. Je dois vraiment avoir mal compris !
Hélas, il n'y a rien de plus vrai. Avril prochain ! Je
commence déjà à désespérer : la geek que je suis ne peut pas se passer
d'internet ! Et comment je vais vivre, moi ? Je ne peux pas me permettre
d'acheter une connexion à NTT Docomo
pour 5000 yens par mois (environ 50 euros). Heureusement, la situation n'est
pas si critique : on ne peut pas avoir le wifi, c'est indéniable, mais il existe
une salle informatique ouverte 24 heures sur 24, où, du moment qu'on possède un
ordinateur, on peut le connecter à un câble relié à une box et profiter
gratuitement d'internet. C'est pas ce
que j'aurais rêvé, mais ne nous plaignons pas : c'est toujours un lien vers la
civilisation… et puis c'est mieux que rien.
Le bâtiment de l'ISC fait onze étages. (C'est-à-dire, dix en
France, considérant que le rez-de-chaussée compte pour le premier étage, ici.)
On nous distribue les clés des chambres : youpi, je suis au 8ème !
J'avais déjà peur d'être au 2nd ou au premier. La plupart des autres
sont au 6ème et au 7ème, et une fille a eu la chance
d'être au 9ème. Enfin, le 8ème, c'est déjà bien ! On me
donne l'autorisation d'aller ranger mes valises dans ma chambre, et c'est le
moment où je découvre dans quoi je vais vivre pour toute l'année à venir.
Mon lit.... |
Mon lit et mon bureau... |
Mon bureau... |
Je suis d'une nature optimiste, alors je m'enthousiasme de
tout ce que je vois quand j'entre : un genkan (bon, enlever les chaussures à
chaque fois qu'on entre, c'est super fastidieux, mais tant pis, au Japon, fais
comme les Japonais), de la moquette, youpi ! J'adore la moquette ! Un grand
bureau, un frigo juste à côté (ouh là, pas bon pour les révisions, ça), une
chaise à roulettes, un lit, un évier, des plaques à induction à côté (je ne savais
pas que ça s'appelait comme ça, mais ma camarade française a dit "on a
même pas le wifi, mais on a des plaques à induction !"), et puis une mini
salle de bain – dans le genre, vraiment mini, encore plus que celle de mon
ancien appart qui faisait 3m² à tout casser. Là, quand on s'assoit sur les
toilettes, c'est tout juste si les genoux touchent pas la porte ; il y a une
petite baignoire juste à côté. Mais qu'importe ! Des toilettes personnelles,
une douche personnelle, c'est juste parfait ! Mieux vaut ça qu'une salle de
bain luxueuse à partager avec tout un étage (le 8ème, haha!). Ah, et
j'oubliais le climatiseur, bien sûr ! Il trône fièrement au dessus de mon lit,
prêt à vous glacer les sangs dès que vous appuierez sur un des boutons de sa
télécommande. La pièce est aussi agrémentée de nombreux placards et rangements,
très pratiques.
Elle est pas belle, la vue ? |
Et la chambre, surtout, possède un balcon ! Après avoir
découvert ce qu'il y avait dedans, je me précipite pour regarder dehors. Jolie
vue ! C'est pas encore mon rêve d'habiter au 37ème étage d'un
immeuble tokyoïte, mais ça y ressemble pas mal, en fait. De nuit, des lumières
bling bling de partout (kira kira, on dit en japonais, ça veut dire à peu près
"brille brille"), des immeubles aux lumières rouges qui clignotent à
leur sommet, des vertes, des jaunes, des oranges… une ville de nuit, quoi. Tout
ce que j'aime. Et avec le vent de la mer qui souffle (quoi qu'on ne puisse pas
la voir, la mer, car ma fenêtre donne de l'autre côté, et à ce jour, je n'ai pas
encore réussi à aller admirer la vue de l'autre côté). De jour, c'est une ville
normale, mais entourée de montagnes, au loin, parmi lesquelles j'espère, chaque
fois que j'y pose le regard, découvrir le mont Fuji. Je suis sûre que cet
espoir ne me quittera pas jusqu'à ce que je quitte la chambre…
Et quelques trente mètres plus bas, il y a la rue. Ou
plutôt, l'énorme avenue. De jour, c'est plutôt bruyant… De nuit je dors, donc
je ne sais pas. Le matin, le soleil se glisse par la fenêtre pour s'étaler son
mon visage et me réveiller comme un traître. Quoi que ça a du bon, je peux me
dire "oh, il est sept heures !" et dormir encore deux heures. (Les
jours où je n'aurai pas cours, s'entend. Parce que les autres, à sept heures,
théoriquement, je suis déjà dans le train.)
Bref, donc me voilà super satisfaite de cette chambre, et
j'aimerais vraiment déballer mes affaires et m'installer, mais il faut aller
faire son Alien Card. Je redoutais un peu ce moment, sans trop savoir pourquoi,
mais il y a mes deux amis japonais, il y a Hiromi et Riho, et aussi
Becky-sensei (un surnom) qui sont venus avec nous. On pensait avoir les cartes
dans la journée, mais en fait, elles n'arriveront que dans la semaine, on peut
donc dire adieu à la banque. Ce qui me soulage un peu, toutes ces démarches
officielles, c'est stressant…
Voici donc venu le temps, non pas des rires et des chants,
mais des achats pour meubler notre chez-nous ! Et c'est là qu'on aime le Japon.
(Enfin, on l'aime toujours, mais encore plus que d'habitude.) Parce que pour se
rendre au centre commercial du coin, on prend une navette, et que cette navette
est gratuite. C'est tellement rare, la gratuité, en France… (sauf quand il
s'agit de violence.) Et que dans ce centre commercial, oups, je rectifie : dans
cet immeeeense centre commercial, il y a
l'endroit où je trouverai mon bonheur. Mes amis, je vous présente le 100 Yen
shop. (Hyakuen shop – prononcer hhhyakouène chope.)
Qu'est-ce que le Hyakuen shop ? C'est facile. Vous avez
besoin de quelque chose en particulier et vous ne voulez pas payer trop cher ?
Venez au Hyakuen shop. Tout y est, comme son nom l'indique, à 100 yens (soit un
peu moins d'un euro). Absolument tout. Pour calculer votre total, les gens de
la caisse comptent vos articles, et il n'y a pas un seul article à plus de cent
yens (TVA non comprise, par contre). Les yeux plein d'étoiles, j'ai donc entamé
mon pèlerinage dans les rayons, achetant une assiette par ci, des couverts par
là, une poubelle, un pot à crayon, des mugs, du nécessaire pour la salle de
bain, des éponges, du produit vaisselle, des sacs poubelles...
Quoi d'autre ? Un duo de verres à fraises. (Ce passage
s'adresse à mes amis mangavores.) Je ne suis plus si fan que ça de Nana, mais
quand vous tombez sur des verres à fraises dans un Hyakuen shop, l'otaku en
vous vous crie de les acheter – c'est un genre de goodies, après tout… Comme
ça, avec mes verres à fraises, je vais pouvoir jouer à être Nana ou Hachi chez
moi. (Hachi, justement, si tu me lis, si ces verres sont intacts à la fin de mon
séjour, je t'en ramènerai un.)
Ce que le Hyakuen shop ne fournit pas, ce sont des
ustensiles de cuisine de qualité, malheureusement. Il a donc fallu aller au
grand magasin du centre commercial, Aeon (prononcer i-onne), pour trouver une
casserole – indispensable pour assouvir mon addiction au thé. Prochaine étape :
la poêle et le couvercle. Je ne l'ai pas encore, mais j'ai acheté de quoi faire
des okonomiyaki (katsuobushi !! Aonori !! Ingrédients introuvables en France, à
mon grand dam, et tellement nécessaires pour une okonomiyaki), donc ça ne
devrait pas tarder.
Le set d'ingrédients nécessaires à ma future okonomiyaki ! |
Le supermarché du centre commercial me voit bondir de
bonheur devant ses onigiri poulet-mayo, ses daifuku aux bouts d'azuki et au maccha
(thé vert) et son thé au lait en bouteille. Mais il propose aussi des choses
excitantes comme du karaage, des korokke (dérivé de "croquettes", et
on ne parle ici de nourriture pour chien, je vous prie de me croire), mais que
je n'ose pas prendre parce qu'il faut les réchauffer et je n'ai pas de micro-ondes
dans ma chambre.
Et c'est ainsi que, fourbue une fois encore, on prend la
navette de retour, à la nuit tombée (vous emballez pas, ici la nuit tombe à six
heures), et on revient à l'ISC, où il faut signaler sa présence dans le
bâtiment en allumant un bouton qui correspond à votre numéro de chambre sur un
tableau de bord. Une fois dans ma chambre, je peux m'en donner à cœur joie,
ranger dans mes placards, tout en dansant comme une idiote sur du Jamiroquai,
toute heureuse d'être au Japon, et heureuse d'avoir deux jours de repos devant
moi avant de devoir me lever à six heures pour aller à la fac lundi. (Mais
voyons le bon côté des choses : à la fac, il y a des korokke et du karaage…
Comment ça, je pense qu'à la bouffe ? Hum… C'est pas faux).
Pour la journée d'aujourd'hui, je n'avais pas d'impératif,
je suis donc retournée au centre commercial pour acheter les dernières
fournitures importantes (on n'y pense pas, mais un pose-savon, ça peut être
utile, pour le savon…) et essayer de trouver une librairie, sans succès
(pourtant je savais qu'il y en avait une, mais impossible de la trouver).
Puis je suis allée faire un tour au supermarché à côté de la
résidence. Je jure que j'étais partie avec l'idée "bon, je prends des
ingrédients pour pouvoir faire ma propre bouffe !" Sauf que voilà, quand
vous ne savez pas ce qu'il y a dans les paquets en face de vous, le choix se
trouve drôlement réduit. J'aurais pu faire des œufs à la coque, mais l'idée de
ne pas manger japonais au Japon me hérisse un peu, je l'avoue. Alors à la place,
je furète dans les rayons, je trouve des chips au wasabi, au nori, de l'anpan
(depuis le temps que je voulais y goûter ! C'est une sorte de brioche ronde
fourrée à l'anko, cette pâte de haricots rouges sucrée qu'on trouve dans les
daifuku), du melon pan (qui tire son nom de sa forme, mais pas de son goût,
dommage), une autre sorte de brioche verte, probablement au maccha, avec des
azuki dessus, et puis bien sûr des onigiri et des daifuku, qui m'offrent de
nouveaux goûts et de nouvelles découvertes : onigiri à la prune salée (pas mon
préféré…), onigiri à un truc que je n'ai pas su lire, mais qui était rouge/rose
et piquant – et encore deux à goûter. Quant aux daifuku, un presque entièrement
fait d'anko, avec juste une minuscule couche de mochi (j'adore l'anko !) et, en
dehors de mes deux habituels, un autre vert clair à pois vert foncé, plutôt
intrigant, dont vous avez la photo en début d'article. Pas encore goûté.
Mes nouvelles découvertes onigiriques... Avouez que ça a de la gueule ! |
Il y a aussi un rayon où on vend des korokke encore chauds,
qu'on peut prendre à l'unité : 18 yens le moins cher. Je n'ose pas en prendre,
mais si l'odeur me fait sérieusement baver ; ça sera pour la prochaine fois.
Bon, on dirait que ce post s'est encore une fois transformé
sur un rapport de mes expériences culinaires, mais je peux vous dire que la
nourriture, au Japon, ça mérite qu'on s'y intéresse. Et non, je ne dis pas ça
parce que je suis une horrible gourmande et que mon estomac est relié au néant.
… Bon, peut-être un peu.
Voilà pour aujourd'hui, mes braves, j'ai rattrapé le rythme
de mes journées. Demain, je compte aller à Sakae (le coin branché de la ville,
apparemment) pour faire plaisir à mon âme d'otaku en allant écumer les
boutiques de manga. Vous aurez bien sûr un compte-rendu détaillé.
À très bientôt, les amis !
Sana.
C'est Nagase Tomoya le leader de TOKIO !! (Il est trop classe *o*).
RépondreSupprimerArf, pas le wifi avant Avril ><. Courage ! On te soutient (surtout que ça nous intéresse de tout savoir de ta vie et d'avoir des nouvelles, alors t'as intérêt à squatter la salle informatique ! Mais je ne m'en fais pas trop pour ça :P).
Arf, un peu petite la chambre ^^. M'enfin, tu es au 8ème et la vue est magnifique *o*.
Haha le hyakuen shop, j'ai hâte d'y entrer quand je serai au Japon, je pense que j'achèterai plein de trucs là bas XD.
Huhu, les ingrédients pour l'okonomiyaki, faudra que tu en ramènes un stock à ton retour ^^.
Et sinon, oui c'est encore un compte-rendu de tes expériences culinaires mais on sait à quel point tu aimes manger XD. Au moins le prochain message devrait parler un peu d'autre chose si tu trouves une librairie ^^.
Eh bien, quand on ne réfléchit pas, ça semble tout con de partir pour un échange de ce genre mais c'est finalement tout un périple ^^. Bon courage pour la suite ! Je suppose que tu seras moins fatiguée une fois que tu seras installée pour de bon et que tu te seras habituée à tes trajets tout ça ^^.
Merci pour le post et j'attends ton prochain message (plus otaku et moins culinaire que les précédents normalement ^^) avec impatience, d'ici là, bonne nuit(même si elle bien entamée de ton côté) et amuse toi bien !
Ohayo ! Je découvre ton blog grâce à Sweet et je crois que je vais m'installer ici pour suivre tes aventures (culinaires entre autres, mais la bouffe est aussi une de mes passions :p). Je suis aussi au Japon pour un an, mais vers Tokyo :)
RépondreSupprimerGarvi : Ah oui, Nagase Tomoya XD C'est vrai XD Sinon la chambre est pas siii petite que ça, bon ok elle est pas grande, mais elle est carrément vivable quoi. ^^
RépondreSupprimerMais par contre j'ai jamais pensé que c'était tout con de partir pour un échange, je me suis toujours dit que ça devait être super dur XD Pourtant c'est que les premiers jours alors tout baigne, mais peut-être que la suite sera plus dure ? Quand la fac aura recommencé tout ça. Mais bon, on verra bien quand j'y aurai passé un mois !
Tam : ooooh Tôkyô, c'est chouette *-* tu y es pour un échange universitaire aussi ? Merci de me suivre, c'est gentil ! Je vois qu'on partage la même passion de la bouffe xD
Ah mn dieuuuuuu! Le karaage X.X Ok, le goût est bon mais...la texture....(X.X) Erkkk c'est des os mous de poulet...Autrement dit du cartilage *frissons* erfff, j'pense il faudra du temps pour que j'arrive à en manger sans avoir de convulsions!
RépondreSupprimerOh, le hyakuen shop, ce serait pas Daiso? Y a un purikura à 200 yen ! Va le faiiiiiiire!!
Chanceuse...La bouffe T.T Envoie en moi pour mon annif (c'est demain, t'as plus beaucoup le temps nyahahahhahaha)
<3
PS: Si tu vois Nino, envoie le moi aussi par la poste, tu serais un amour!! :)
Sana : Tam et son compagnon sont au Japon avec le visa travail/études, non dans un échange universitaire ^^
RépondreSupprimerVous avez aussi la passion des BJD, c'est des dolls que nous nous connaissons (je commenterais tout à l'heure ton article, déjà j'ai vu les photo j'étais toute comme ça --> (*________________________________________*) (note : la longueur du smiley est proportionnelle à ma joie)
Moi je suis pas du tout jalouse de toi (j'ai renommé une peluche a ton nom et maintenant je fais du vaudou dessus...)
RépondreSupprimerNon, mais oui, les okonomiyaki (ou osukimiyaki quand c'est moi qui lit les kanji...) ben tu m'enverras un bout, ok ? :D Le temps qu'il arrive il sera tout vert, mais c'pas si grave ^^
PS : Moi j'te laisse plus de temps qu'Alex... Tu as jusqu'au 10 decembre pour m'envoyer Yamapi :) Bon courage !! :D
Alex : ah c'est du cartilage ? J'aime pas d'habitude mais là ça ressemble pas du coup à du cartilage alors ça me va XD Sinon le Hyakuen shop y'en a plein à Nagoya tsais XD J'suis près du port alors c'est le Hyakuen shop du centre commercial Aeon, m'étonnerait qu'on parle du même. XD Et j'sais pas faire des purikura, j'ai essayé une fois mais j'ai rien compris aux instructions alors c'était trop nul xD
RépondreSupprimerJe note pour Nino !
Sweet : ah d'accord :D pour les BJD c'est pas encore une passion hein, c'est plutôt un coup de coeur qui deviendra peut-être une passion un jour xD Mais j'y connais rien pour l'instant XD
Maurine : Osukimiyaki XDD Trop forte XDD J'imagine que le temps qu'il arrive, il sera plus vert, y'aura carrément du moisi dessus xD mais bon c'est pas grave, tu le mangeras quand même en te disant que ça vient du Japon XD
Ouais, le 10 décembre, ça va, j'aurai le temps de trouver Yamapi pour le découper en petits morceaux et le glisser dans une enveloppe :)
Il va te falloir un micro-ondes si tu ne veux pas manger des chips au wasabi toute l'année !...
RépondreSupprimerMoi je suis paumée dans tous tes trucs de bouffe, mais tu nous feras découvrir si on arrive à venir !
Tu as l'air d'avoir une belle petite chambre, c'est cool ! A part le coup du WiFi. Ca n'existe pas les "clés 3G" du genre de ce que fait SFR ici ?
On pense à toi ! Bisous !!
okonomiyaki *bave et inonde son clavier*
RépondreSupprimerJe suis pareille en fait je lis que tes expériences de bouffe. Tuez moi >.<
/va se chercher un pauvre morceau de pain -même si toi tu dois le regretter, ce pain- pour combler sa faim/
La vue de ta chambre est super jolie, j'adore. Immergée dans la ville avec les lumières de partout, tout le temps ... Le pied.
J'espère que ton lit est confortable <3
En fait y'a du pain ici tu sais XD Mais c'est un genre de pain Harris... pas de la baguette ou quoi.
RépondreSupprimerSinon ouais, la vue est chouette :D Et comme il fait la moitié de mon temps éveillé, c'est cool XD
Et le lit est confortable, et j'ai deux oreillers ! :D