dimanche 2 octobre 2011

De mon déménagement...


Puisqu'on est dans la continuité des premiers jours, j'enchaîne sur les suivants, autrement dit, aujourd'hui, mais surtout hier, le 30 septembre : mon déménagement, dudes ! Journée chargée, en fait : pas seulement le déménagement, mais aussi l'enregistrement au bureau des résidents étrangers pour avoir son Alien Card, la banque – c'était prévu – et les achats pour la chambre : difficile de vivre sans oreiller ou sans papier toilette.

Le matin, le rendez-vous avec tous les autres ryuugakusei était prévu à 9h30 à l'université, histoire que les professeurs puissent transporter nos bagages dans leurs voitures et qu'on puisse prendre le train sans être trop chargés. J'étais un peu triste à l'idée de quitter Iwase-san, et puis, allez vous exprimer en japonais pour dire "j'étais super contente d'être chez vous, ça m'a plu de jouer des morceaux à quatre mains avec votre fille, j'espère vraiment qu'on se reverra, je vous suis redevable pour beaucoup de choses !". Pas évident. Et elle est partie très vite, mais j'ai gardé son mail et son numéro de portable. Contente que le séjour en famille se soit bien passé… Mais j'ai vraiment eu de la chance de tomber sur cette famille en particulier !

Vers les 9h45, après un briefing des professeurs, on s'aventure vers la gare de la ligne Linimo pour rejoindre d'abord le bout de la ligne Linimo, Fujigaoka, avant de prendre la ligne Murasaki qui nous mènera jusqu'à Sakae, ou on changera pour prendre un train qui dessert une branche à part de la ligne Murasaki : au bas mot, une heure et demi de train. À faire tous les matins. Youpi, je m'en réjouis d'avance.

Bon, c'est de l'ironie mais en fait j'aime beaucoup les transports en commun, moi, surtout au Japon, ça vaut le coup d'œil : bon déjà, les trains ne sont jamais en retard, mais c'est normal, on est au Japon. (D'ailleurs le record de retard du shinkansen (TGV) pour l'année 2008 a été de deux minutes. Pour toute l'année !) Et ensuite c'est bourré de publicités, sur lesquelles j'ai environ 3 chances sur 4 d'apercevoir des personnalités que j'aime particulièrement ou je connais simplement, comme Ohno-kun (ouais, les potes, vous vous en doutiez à peine), et le reste des Arashi (dont Nino, Alex, je pense à toi !), ou bien Horikita Maki, qui est siii mignonne ! Ou bien le leader de Tokio (pardon, Sweet, Garvi ! J'ai oublié son nom…) avec le reste du groupe évidemment. Mais aussi des affiches du Seigneur des Anneaux, de Harry Potter et de Pirates des Caraïbes. Même si ici, c'est quand même plutôt la culture japonaise qui prime. (Caro, ceci est pour toi, j'ai tout de même vu Kim Hyun Joon sur une pub télévisée pour… probablement des oreillers. Ainsi qu'une pub pour le nouvel album de FT Island. :D)

Ce voyage en train est l'occasion de faire la connaissance de deux nouvelles japonaises qui nous prennent en charge, Hiromi-san et Riho-san, qui nous attendent à Fujigaoka, qui sont toutes les deux adorables, et qui me font remonter mon estime personnelle après quelques conversations où la communication passe sans problème, pas comme avec les coréens avec qui j'essayais vainement de discuter pendant la première demi-heure de train. Tous les japonais ont toujours l'air ébahi quand, lorsqu'ils me demandent ce que j'aime manger, je réponds des daifuku. Quoi, c'est si rare que ça, les occidentaux qui aiment manger de la pâte gluante et des haricots rouge en bouillie sucrée ?

Ma provision de daifuku
On arrive à l'ISC, ma résidence, où commence la réunion pour les nouveaux arrivants. Comment résumer cette réunion… Ah oui, les mots "j'y pige que dalle" correspondent plutôt bien. La dame qui nous lit le règlement parle à une vitesse folle, avec des mots compliqués, qui ne collent pas toujours avec la traduction en anglais du règlement qu'on a sous les yeux. Le moment où je me dis surtout que j'ai mal compris, c'est quand elle dit qu'on pourra bénéficier du wifi à partir d'avril prochain. Haha. Avril prochain. Je dois vraiment avoir mal compris !

Hélas, il n'y a rien de plus vrai. Avril prochain ! Je commence déjà à désespérer : la geek que je suis ne peut pas se passer d'internet ! Et comment je vais vivre, moi ? Je ne peux pas me permettre d'acheter une connexion à  NTT Docomo pour 5000 yens par mois (environ 50 euros). Heureusement, la situation n'est pas si critique : on ne peut pas avoir le wifi, c'est indéniable, mais il existe une salle informatique ouverte 24 heures sur 24, où, du moment qu'on possède un ordinateur, on peut le connecter à un câble relié à une box et profiter gratuitement d'internet.  C'est pas ce que j'aurais rêvé, mais ne nous plaignons pas : c'est toujours un lien vers la civilisation… et puis c'est mieux que rien. 

 Le bâtiment de l'ISC fait onze étages. (C'est-à-dire, dix en France, considérant que le rez-de-chaussée compte pour le premier étage, ici.) On nous distribue les clés des chambres : youpi, je suis au 8ème ! J'avais déjà peur d'être au 2nd ou au premier. La plupart des autres sont au 6ème et au 7ème, et une fille a eu la chance d'être au 9ème. Enfin, le 8ème, c'est déjà bien ! On me donne l'autorisation d'aller ranger mes valises dans ma chambre, et c'est le moment où je découvre dans quoi je vais vivre pour toute l'année à venir. 

Mon lit....
Mon lit et mon bureau...
Mon bureau...





Je suis d'une nature optimiste, alors je m'enthousiasme de tout ce que je vois quand j'entre : un genkan (bon, enlever les chaussures à chaque fois qu'on entre, c'est super fastidieux, mais tant pis, au Japon, fais comme les Japonais), de la moquette, youpi ! J'adore la moquette ! Un grand bureau, un frigo juste à côté (ouh là, pas bon pour les révisions, ça), une chaise à roulettes, un lit, un évier, des plaques à induction à côté (je ne savais pas que ça s'appelait comme ça, mais ma camarade française a dit "on a même pas le wifi, mais on a des plaques à induction !"), et puis une mini salle de bain – dans le genre, vraiment mini, encore plus que celle de mon ancien appart qui faisait 3m² à tout casser. Là, quand on s'assoit sur les toilettes, c'est tout juste si les genoux touchent pas la porte ; il y a une petite baignoire juste à côté. Mais qu'importe ! Des toilettes personnelles, une douche personnelle, c'est juste parfait ! Mieux vaut ça qu'une salle de bain luxueuse à partager avec tout un étage (le 8ème, haha!). Ah, et j'oubliais le climatiseur, bien sûr ! Il trône fièrement au dessus de mon lit, prêt à vous glacer les sangs dès que vous appuierez sur un des boutons de sa télécommande. La pièce est aussi agrémentée de nombreux placards et rangements, très pratiques.

Elle est pas belle, la vue ?
Et la chambre, surtout, possède un balcon ! Après avoir découvert ce qu'il y avait dedans, je me précipite pour regarder dehors. Jolie vue ! C'est pas encore mon rêve d'habiter au 37ème étage d'un immeuble tokyoïte, mais ça y ressemble pas mal, en fait. De nuit, des lumières bling bling de partout (kira kira, on dit en japonais, ça veut dire à peu près "brille brille"), des immeubles aux lumières rouges qui clignotent à leur sommet, des vertes, des jaunes, des oranges… une ville de nuit, quoi. Tout ce que j'aime. Et avec le vent de la mer qui souffle (quoi qu'on ne puisse pas la voir, la mer, car ma fenêtre donne de l'autre côté, et à ce jour, je n'ai pas encore réussi à aller admirer la vue de l'autre côté). De jour, c'est une ville normale, mais entourée de montagnes, au loin, parmi lesquelles j'espère, chaque fois que j'y pose le regard, découvrir le mont Fuji. Je suis sûre que cet espoir ne me quittera pas jusqu'à ce que je quitte la chambre…

Et quelques trente mètres plus bas, il y a la rue. Ou plutôt, l'énorme avenue. De jour, c'est plutôt bruyant… De nuit je dors, donc je ne sais pas. Le matin, le soleil se glisse par la fenêtre pour s'étaler son mon visage et me réveiller comme un traître. Quoi que ça a du bon, je peux me dire "oh, il est sept heures !" et dormir encore deux heures. (Les jours où je n'aurai pas cours, s'entend. Parce que les autres, à sept heures, théoriquement, je suis déjà dans le train.)

Bref, donc me voilà super satisfaite de cette chambre, et j'aimerais vraiment déballer mes affaires et m'installer, mais il faut aller faire son Alien Card. Je redoutais un peu ce moment, sans trop savoir pourquoi, mais il y a mes deux amis japonais, il y a Hiromi et Riho, et aussi Becky-sensei (un surnom) qui sont venus avec nous. On pensait avoir les cartes dans la journée, mais en fait, elles n'arriveront que dans la semaine, on peut donc dire adieu à la banque. Ce qui me soulage un peu, toutes ces démarches officielles, c'est stressant…

Voici donc venu le temps, non pas des rires et des chants, mais des achats pour meubler notre chez-nous ! Et c'est là qu'on aime le Japon. (Enfin, on l'aime toujours, mais encore plus que d'habitude.) Parce que pour se rendre au centre commercial du coin, on prend une navette, et que cette navette est gratuite. C'est tellement rare, la gratuité, en France… (sauf quand il s'agit de violence.) Et que dans ce centre commercial, oups, je rectifie : dans cet immeeeense centre commercial,  il y a l'endroit où je trouverai mon bonheur. Mes amis, je vous présente le 100 Yen shop. (Hyakuen shop – prononcer hhhyakouène chope.)

Qu'est-ce que le Hyakuen shop ? C'est facile. Vous avez besoin de quelque chose en particulier et vous ne voulez pas payer trop cher ? Venez au Hyakuen shop. Tout y est, comme son nom l'indique, à 100 yens (soit un peu moins d'un euro). Absolument tout. Pour calculer votre total, les gens de la caisse comptent vos articles, et il n'y a pas un seul article à plus de cent yens (TVA non comprise, par contre). Les yeux plein d'étoiles, j'ai donc entamé mon pèlerinage dans les rayons, achetant une assiette par ci, des couverts par là, une poubelle, un pot à crayon, des mugs, du nécessaire pour la salle de bain, des éponges, du produit vaisselle, des sacs poubelles...

Quoi d'autre ? Un duo de verres à fraises. (Ce passage s'adresse à mes amis mangavores.) Je ne suis plus si fan que ça de Nana, mais quand vous tombez sur des verres à fraises dans un Hyakuen shop, l'otaku en vous vous crie de les acheter – c'est un genre de goodies, après tout… Comme ça, avec mes verres à fraises, je vais pouvoir jouer à être Nana ou Hachi chez moi. (Hachi, justement, si tu me lis, si ces verres sont intacts à la fin de mon séjour, je t'en ramènerai un.)

Ce que le Hyakuen shop ne fournit pas, ce sont des ustensiles de cuisine de qualité, malheureusement. Il a donc fallu aller au grand magasin du centre commercial, Aeon (prononcer i-onne), pour trouver une casserole – indispensable pour assouvir mon addiction au thé. Prochaine étape : la poêle et le couvercle. Je ne l'ai pas encore, mais j'ai acheté de quoi faire des okonomiyaki (katsuobushi !! Aonori !! Ingrédients introuvables en France, à mon grand dam, et tellement nécessaires pour une okonomiyaki), donc ça ne devrait pas tarder. 

Le set d'ingrédients nécessaires à ma future okonomiyaki !
 
Le supermarché du centre commercial me voit bondir de bonheur devant ses onigiri poulet-mayo, ses daifuku aux bouts d'azuki et au maccha (thé vert) et son thé au lait en bouteille. Mais il propose aussi des choses excitantes comme du karaage, des korokke (dérivé de "croquettes", et on ne parle ici de nourriture pour chien, je vous prie de me croire), mais que je n'ose pas prendre parce qu'il faut les réchauffer et je n'ai pas de micro-ondes dans ma chambre.

Et c'est ainsi que, fourbue une fois encore, on prend la navette de retour, à la nuit tombée (vous emballez pas, ici la nuit tombe à six heures), et on revient à l'ISC, où il faut signaler sa présence dans le bâtiment en allumant un bouton qui correspond à votre numéro de chambre sur un tableau de bord. Une fois dans ma chambre, je peux m'en donner à cœur joie, ranger dans mes placards, tout en dansant comme une idiote sur du Jamiroquai, toute heureuse d'être au Japon, et heureuse d'avoir deux jours de repos devant moi avant de devoir me lever à six heures pour aller à la fac lundi. (Mais voyons le bon côté des choses : à la fac, il y a des korokke et du karaage… Comment ça, je pense qu'à la bouffe ? Hum… C'est pas faux).

Pour la journée d'aujourd'hui, je n'avais pas d'impératif, je suis donc retournée au centre commercial pour acheter les dernières fournitures importantes (on n'y pense pas, mais un pose-savon, ça peut être utile, pour le savon…) et essayer de trouver une librairie, sans succès (pourtant je savais qu'il y en avait une, mais impossible de la trouver).

Puis je suis allée faire un tour au supermarché à côté de la résidence. Je jure que j'étais partie avec l'idée "bon, je prends des ingrédients pour pouvoir faire ma propre bouffe !" Sauf que voilà, quand vous ne savez pas ce qu'il y a dans les paquets en face de vous, le choix se trouve drôlement réduit. J'aurais pu faire des œufs à la coque, mais l'idée de ne pas manger japonais au Japon me hérisse un peu, je l'avoue. Alors à la place, je furète dans les rayons, je trouve des chips au wasabi, au nori, de l'anpan (depuis le temps que je voulais y goûter ! C'est une sorte de brioche ronde fourrée à l'anko, cette pâte de haricots rouges sucrée qu'on trouve dans les daifuku), du melon pan (qui tire son nom de sa forme, mais pas de son goût, dommage), une autre sorte de brioche verte, probablement au maccha, avec des azuki dessus, et puis bien sûr des onigiri et des daifuku, qui m'offrent de nouveaux goûts et de nouvelles découvertes : onigiri à la prune salée (pas mon préféré…), onigiri à un truc que je n'ai pas su lire, mais qui était rouge/rose et piquant – et encore deux à goûter. Quant aux daifuku, un presque entièrement fait d'anko, avec juste une minuscule couche de mochi (j'adore l'anko !) et, en dehors de mes deux habituels, un autre vert clair à pois vert foncé, plutôt intrigant, dont vous avez la photo en début d'article. Pas encore goûté. 

Mes nouvelles découvertes onigiriques... Avouez que ça a de la gueule !
 Il y a aussi un rayon où on vend des korokke encore chauds, qu'on peut prendre à l'unité : 18 yens le moins cher. Je n'ose pas en prendre, mais si l'odeur me fait sérieusement baver ; ça sera pour la prochaine fois.

Bon, on dirait que ce post s'est encore une fois transformé sur un rapport de mes expériences culinaires, mais je peux vous dire que la nourriture, au Japon, ça mérite qu'on s'y intéresse. Et non, je ne dis pas ça parce que je suis une horrible gourmande et que mon estomac est relié au néant.
… Bon, peut-être un peu.

Voilà pour aujourd'hui, mes braves, j'ai rattrapé le rythme de mes journées. Demain, je compte aller à Sakae (le coin branché de la ville, apparemment) pour faire plaisir à mon âme d'otaku en allant écumer les boutiques de manga. Vous aurez bien sûr un compte-rendu détaillé.

À très bientôt, les amis !
Sana.

10 commentaires:

  1. C'est Nagase Tomoya le leader de TOKIO !! (Il est trop classe *o*).

    Arf, pas le wifi avant Avril ><. Courage ! On te soutient (surtout que ça nous intéresse de tout savoir de ta vie et d'avoir des nouvelles, alors t'as intérêt à squatter la salle informatique ! Mais je ne m'en fais pas trop pour ça :P).

    Arf, un peu petite la chambre ^^. M'enfin, tu es au 8ème et la vue est magnifique *o*.

    Haha le hyakuen shop, j'ai hâte d'y entrer quand je serai au Japon, je pense que j'achèterai plein de trucs là bas XD.
    Huhu, les ingrédients pour l'okonomiyaki, faudra que tu en ramènes un stock à ton retour ^^.

    Et sinon, oui c'est encore un compte-rendu de tes expériences culinaires mais on sait à quel point tu aimes manger XD. Au moins le prochain message devrait parler un peu d'autre chose si tu trouves une librairie ^^.

    Eh bien, quand on ne réfléchit pas, ça semble tout con de partir pour un échange de ce genre mais c'est finalement tout un périple ^^. Bon courage pour la suite ! Je suppose que tu seras moins fatiguée une fois que tu seras installée pour de bon et que tu te seras habituée à tes trajets tout ça ^^.

    Merci pour le post et j'attends ton prochain message (plus otaku et moins culinaire que les précédents normalement ^^) avec impatience, d'ici là, bonne nuit(même si elle bien entamée de ton côté) et amuse toi bien !

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  2. Ohayo ! Je découvre ton blog grâce à Sweet et je crois que je vais m'installer ici pour suivre tes aventures (culinaires entre autres, mais la bouffe est aussi une de mes passions :p). Je suis aussi au Japon pour un an, mais vers Tokyo :)

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  3. Garvi : Ah oui, Nagase Tomoya XD C'est vrai XD Sinon la chambre est pas siii petite que ça, bon ok elle est pas grande, mais elle est carrément vivable quoi. ^^

    Mais par contre j'ai jamais pensé que c'était tout con de partir pour un échange, je me suis toujours dit que ça devait être super dur XD Pourtant c'est que les premiers jours alors tout baigne, mais peut-être que la suite sera plus dure ? Quand la fac aura recommencé tout ça. Mais bon, on verra bien quand j'y aurai passé un mois !

    Tam : ooooh Tôkyô, c'est chouette *-* tu y es pour un échange universitaire aussi ? Merci de me suivre, c'est gentil ! Je vois qu'on partage la même passion de la bouffe xD

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  4. Alexandra / Ohmiya powaaaaaaa2 octobre 2011 à 20:24

    Ah mn dieuuuuuu! Le karaage X.X Ok, le goût est bon mais...la texture....(X.X) Erkkk c'est des os mous de poulet...Autrement dit du cartilage *frissons* erfff, j'pense il faudra du temps pour que j'arrive à en manger sans avoir de convulsions!
    Oh, le hyakuen shop, ce serait pas Daiso? Y a un purikura à 200 yen ! Va le faiiiiiiire!!
    Chanceuse...La bouffe T.T Envoie en moi pour mon annif (c'est demain, t'as plus beaucoup le temps nyahahahhahaha)
    <3

    PS: Si tu vois Nino, envoie le moi aussi par la poste, tu serais un amour!! :)

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  5. Sana : Tam et son compagnon sont au Japon avec le visa travail/études, non dans un échange universitaire ^^
    Vous avez aussi la passion des BJD, c'est des dolls que nous nous connaissons (je commenterais tout à l'heure ton article, déjà j'ai vu les photo j'étais toute comme ça --> (*________________________________________*) (note : la longueur du smiley est proportionnelle à ma joie)

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  6. Moi je suis pas du tout jalouse de toi (j'ai renommé une peluche a ton nom et maintenant je fais du vaudou dessus...)

    Non, mais oui, les okonomiyaki (ou osukimiyaki quand c'est moi qui lit les kanji...) ben tu m'enverras un bout, ok ? :D Le temps qu'il arrive il sera tout vert, mais c'pas si grave ^^

    PS : Moi j'te laisse plus de temps qu'Alex... Tu as jusqu'au 10 decembre pour m'envoyer Yamapi :) Bon courage !! :D

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  7. Alex : ah c'est du cartilage ? J'aime pas d'habitude mais là ça ressemble pas du coup à du cartilage alors ça me va XD Sinon le Hyakuen shop y'en a plein à Nagoya tsais XD J'suis près du port alors c'est le Hyakuen shop du centre commercial Aeon, m'étonnerait qu'on parle du même. XD Et j'sais pas faire des purikura, j'ai essayé une fois mais j'ai rien compris aux instructions alors c'était trop nul xD
    Je note pour Nino !

    Sweet : ah d'accord :D pour les BJD c'est pas encore une passion hein, c'est plutôt un coup de coeur qui deviendra peut-être une passion un jour xD Mais j'y connais rien pour l'instant XD

    Maurine : Osukimiyaki XDD Trop forte XDD J'imagine que le temps qu'il arrive, il sera plus vert, y'aura carrément du moisi dessus xD mais bon c'est pas grave, tu le mangeras quand même en te disant que ça vient du Japon XD

    Ouais, le 10 décembre, ça va, j'aurai le temps de trouver Yamapi pour le découper en petits morceaux et le glisser dans une enveloppe :)

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  8. Il va te falloir un micro-ondes si tu ne veux pas manger des chips au wasabi toute l'année !...

    Moi je suis paumée dans tous tes trucs de bouffe, mais tu nous feras découvrir si on arrive à venir !
    Tu as l'air d'avoir une belle petite chambre, c'est cool ! A part le coup du WiFi. Ca n'existe pas les "clés 3G" du genre de ce que fait SFR ici ?
    On pense à toi ! Bisous !!

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  9. okonomiyaki *bave et inonde son clavier*

    Je suis pareille en fait je lis que tes expériences de bouffe. Tuez moi >.<
    /va se chercher un pauvre morceau de pain -même si toi tu dois le regretter, ce pain- pour combler sa faim/

    La vue de ta chambre est super jolie, j'adore. Immergée dans la ville avec les lumières de partout, tout le temps ... Le pied.
    J'espère que ton lit est confortable <3

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  10. En fait y'a du pain ici tu sais XD Mais c'est un genre de pain Harris... pas de la baguette ou quoi.

    Sinon ouais, la vue est chouette :D Et comme il fait la moitié de mon temps éveillé, c'est cool XD
    Et le lit est confortable, et j'ai deux oreillers ! :D

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